La création est quelque chose qui est des plus saint, c’est la chose la plus sacrée dans la vie, et si vous avez fait un désordre de votre vie, changez la. Changez la aujourd’hui, pas demain. Si vous êtes incertain, découvrez pourquoi et soyez certain. Si votre pensée n’est pas droite, pensez directement, logiquement. À moins que tout cela soit préparé, que tout cela soit arrangé, vous ne pourrez pas entrer dans ce monde, dans le monde de la création.

(Krishnamurti, dernier entretien, le 4 janvier 1986, à Madras:Le Futur est maintenant (« The Future Is Now ») : Dernières conférences en Inde, par J. Krishnamurti, HarperCollins, 1989. Voir également une transcription non éditée ici : Madras 04/01/1986 )

Le bonheur n’est pas un état permanent. Il faut le trouver en chaque instant, chaque jour. Il suffit de savoir méditer et s’y employer. L’émotion négative est un obstacle. Elle entraîne la souffrance qui donne naissance au mal-être. Il suffit de déterminer cette émotion négative et s’en défaire. Sachant que tous les problèmes proviennent d’émotions négatives, il faut savoir trouver, contre elles, les bons antidotes. Et arrêtons de trop penser. (Lama Samten, octobre 2017)

Tout dragon engendre un Saint Georges qui le terrasse

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L’inspiration chante toujours

L’inspiration n’explique jamais

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Sème une graine, la terre te donnera une fleur

Elève ton rêve jusqu’au ciel et le ciel te rendra ton être aimé

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Ceux qui te donnent un serpent alors que tu leur demandes un poisson, n’ont peut-être rien d’autre que des serpents à t’offrir

C’est donc généreux de leur part

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Si ton coeur est un volcan, comment espères-tu que fleurissent tes mains ?

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L’honneur de la victime est de ne pas être l’assassin

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Le verbeux m’a appris le silence, le fanatique la tolérance, et le cruel la bonté. Etrange, je ne leur éprouve guère de reconnaissance

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En vérité, tu ne dois rien à personne

Tu dois tout à tout le monde

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Dit le putois à la rose : « Vois comme je cours vite, alors que tu ne peux ni marcher, ni même ramper. »

Dit la rose au putois : « O coureur noble et agile, je t’en prie va-t’en vite ! »

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En automne, je récoltai toutes mes peines et les enterrai dans mon jardin.

Lorsque avril refleurit et que la terre et le printemps célébrèrent leurs noces, mon jardin fut jonché de fleurs splendides et exceptionnelles.

Mes voisins vinrent les admirer et chacun me dit : « Quand reviendra l’automne, la saison des semailles, nous donneras-tu des graines de ces fleurs, afin que nous puissions les planter dans nos jardins ? »

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